Ballade au bord d'une eau argentée. {Libre}

Mio s'était levée tôt, elle avait passé une mauvaise nuit, c'est à dire qu'elle n'avait dormi que très peu. Des souvenirs, plutôt mauvais, lui était revenus en mémoire. Elle s'était levée, dans le pénombre, tranquillement, elle s'est vêtue d'un jean, un tee-shirt et a chaussé ses petits pieds de baskets pour ne pas faire de bruit. Puis elle a pris son portable,son baladeur, un porte-monnaie avec assez pour prendre le train et un gilet et s'est dirigée vers la cuisine pour prendre une bouteille d'eau. Elle pris un bout de papier et un stylo pour ainsi laisser un mot à ses parents : "Papa, maman, je suis partie vers la plage alors quand vous lèverez ne vous inquiètez pas. J'ai pris mon portable et je rentrerais vers 14h, surement. Je vous aime; Mio."
En direction de la gare, elle marchait, ses écouteurs dans les oreilles, en asseyant de penser au moins de choses possible. Arrivée à destination, elle commanda ses billets et attendit dans la gare vide. Elle ferma les yeux jusqu'à se que la dame prononca que son train allait arriver dans 5 minutes. Elle se leva, prit son billet qu'elle passa dans la machine et sortis, dans le froid de la gare. Elle frissona, normal, il n'était que 5h30 du matin... Son train arriva, elle monta dedans.
Monté dans le compartiment de son billet, elle s'asseya côté fenêtre, toujours son baladeurs en mode marche. Le contrôleur vint lui demander son ticket au bout de 30 minutes sinon, rien. Il n'y avait presque personne, une dame avec son enfant qui n'arretait pas de dévisager Mio. Cette mère avait l'air d'une bonne mère. Et un homme d'affaires qui n'arretais pas de pianoter sur son clavier d'un air sérieux. Mio ria discrètement, on aurait dis une oie. Puis elle se reconcentra sur le paysage.
"Plage de ... Arrivée dans 2 minutes."
Mio pris son sac, se leva, adressa un sourire à l'enfant et sa mère et sortie.
Elle regarda le ciel, il faisait un peu plus beau et chaud. La jeune fille descandit vers la plage. Arrivée à destination, elle s'asseya sur son bord. Puis elle fixa la mer en réfléchissant. Sans vraiment le vouloir, elle versa une larme... L'eau était parfaite, argentée.